Aime ton corps

Pour contrer l'hostilité envers le corps humain et les faits biologiques de la vie qui font la une des journaux d'aujourd'hui. De nombreuses personnes absorbent des mantras médiatiques préemballés sur des questions morales décisives sans être conscients de leurs implications blessantes dans le monde réel. Considérer:

• Transgenre : Les militants détachent le genre de la biologie. Les enfants jusqu’à la maternelle apprennent que leur corps n’a aucun rapport avec leur moi authentique. Est-ce une affirmation ou est-ce que cela rabaisse le corps ?
• Homosexualité: Les défenseurs dissocient la sexualité du fait d’être biologiquement masculin ou féminin. Est-ce libérateur ou est-ce que cela dénigre qui nous sommes réellement ?
• Avortement: Les partisans admettent que les bébés à naître sont des êtres humains, mais nient qu’ils soient des personnes dignes d’une protection juridique. Cela conduit-il à l’égalité pour les femmes ou cela menace-t-il la dignité intrinsèque de tous les êtres humains ?
• Culture de connexion : Sur les campus, à Hollywood et dans les salles de réunion, la révolution sexuelle était censée nous libérer du sexe récréatif. Mais a-t-il vraiment conduit à des sexes schizoïdes et à des corps dénués de sens ?

Dans Aime ton corps, l'auteure à succès Nancy Pearcey va au-delà des arguments politiquement corrects pour proposer un exposé captivant sur l'éthos laïc déshumanisant qui façonne les problèmes moraux et sociopolitiques critiques de notre époque.

Autrefois agnostique, Pearcey a été salué en L'économiste comme « la plus grande intellectuelle féminine protestante évangélique d’Amérique ». Sans peur et avec compassion, elle fait valoir que la laïcité dénigre le corps et détruit les fondements des droits humains.

Tout au long, Pearcey présente une alternative holistique et humaine accessible à tous – une alternative qui offre la réalité.–des solutions orientées vers la dignité du corps humain et fournissant une base durable aux droits de l’homme inaliénables.

Aujourd’hui plus que jamais, nous devons apprendre à « aimer ton corps ».